Mère célibataire heureuse: les témoignages de nos lectrices.
Nos articles suscitent beaucoup de réactions. Nous avons sélectionné certaines d’entres elles pour vous démontrer qu’on peut tout à fait être une mère célibataire heureuse et comment. Lisez-donc nos témoignages et découvrez leurs recettes du bonheur !
Alexandra 27 ans: mère célibataire heureuse d’un garçon de 3 ans.
Je suis une mère célibataire heureuse depuis que j’ai repris possession de ma vie. Ma vie de couple n’a été que des concessions et je suis heureuse d’en être sortie. Ces concessions allaient trop loin et à la fin j’avais plus de vie à moi: je vivais seulement dans les yeux de mon ex. Le fait que ça a été mon premier amour n’a bien sûr rien arrangé.
Déborah 32 ans – mère célibataire heureuse d’un garçon de 13 ans.
Je suis heureuse parce-que je vis à l’étranger. Je n’aurais pas cru ça possible et je l’ai fais. C’est une aventure et une vraie chance que j’offre à mon fils. Puisqu’il parle désormais anglais.
Marion 29 ans – mère célibataire heureuse de 2 enfants de 5 et 7 ans.
Quand vous êtes mère célibataire, vous savez a quel point vous êtes solide et intelligente. La plupart des gens n’en auront pas la démonstration de toute leur vie. Et ils n’auront pas dans leur vie l’occasion de faire leurs preuves par eux-même. C’est pour ça que je suis heureuse. Je suis heureuse de savoir que tout est possible dans la vie et que j’ai la capacité de mener ma vie comme je l’entends. J’ai fait des études supérieures mais être maman célibataire je l’ai appris sur le tas. Et ça m’a apporté un esprit pratique à toute épreuve !
Carine, 26 ans- mère célibataire heureuse d’une petite fille de 4 ans.
Je suis heureuse parce que ma fille me rends heureuse, elle est vraiment adorable. Et parce que j’ai décidé de l’être. Je suis heureuse parce-que je sais rationaliser les difficultés. J’ai des problèmes d’argent, j’ai des problèmes de garde d’enfants. Mais si j’ai ces difficultés, c’est justement parce-que j’ai l’immense CHANCE d’avoir un enfant ET un travail. Cette chance, tout le monde ne l’a pas. J’ai une soeur qui peine à avoir un bébé. Et il n’y a qu’à voir le taux de chômage en France. Alors je me rends compte à quel point je suis privilégiée dans ma vie.
Marjorie, 24 ans – mère célibataire heureuse d’un garçon de 7 mois.
Je suis heureuse parce-que je suis optimiste concernant mon avenir. Depuis que j’ai eu mon fils j’ai eu plus de soutien de la part de mes amis et de ma famille que je ne m’y attendais. Je réalise que je suis bien entourée et que tout le monde nous aime, mon fils et moi. Chaque jour quelqu’un m’appelle ou vient me rendre visite. Je vis dans une maison que m’ont prêté des amis de mes parents. Je suis sûre que tout le monde m’aidera à prendre mon envol au moment venu. Et pourquoi pas à créer mon propre salon d’esthétique (je suis esthéticienne).
Svetlana, 36 ans – mère célibataire heureuse d’un garçon de 8 ans.
Je suis heureuse parce que j’ai retrouvé l’amour. Quand j’ai rompu avec le papa de Killian, le monde s’est effondré. Et puis j’ai rencontré Ludovic. Il est beau, il est doux et il adore les enfants. Et il est fou amoureux de moi et moi de lui. Nous ne vivons pas encore ensemble mais nous partons bientôt en vacances. Ce sera le premier test pour une éventuelle vie commune. Je ne sais pas ou cette histoire nous mènera mais depuis j’ai retrouvé la pêche et la confiance en moi !
Meriem, 45 ans – mère célibataire heureuse d’un garçon de 23 ans.
Je suis une mère célibataire heureuse parce que je suis au bout du chemin avec mon fils qui vient de finir ses études de manière brillante. Et qu’au moment ou les femmes sont mariées, en train d’élever leurs enfants et de subir leurs diverses obligations domestiques, et bien moi je vis une seconde jeunesse. Je sors le soir avec mes amis, j’ai des histoires d’amour et moi qui n’y avait jamais trouvé d’intérêt, je suis devenue une accro à la mode. Je me rends compte que j’ai un sacré succès auprès des hommes à 45 ans. Alors j’imagine qu’à 20 ans, j’aurais pu faire un malheur !
Victoria, 31 ans – mère célibataire heureuse de 3 enfants.
Ca va vous faire rire ce que je dis mais je suis heureuse parce que tout le monde me croit riche. J’ai beau galérer financièrement sans aucun soutien financier (je suis veuve). J’ai beau travailler en dessous de mes qualifications et galérer à finir les mois. Je complète mon budget en faisant des heures de baby-sitting. Tout le monde me croit riche et pour moi c’est important. Et cela parce-que je dégage parait-il une élégance naturelle. C’est ce qui me rend le plus fière à moi qui avait peur de devenir « un cas social ». Et ceux qui me croient riche n’ont pas complètement tort au fond, je suis riche de mes enfants.
Salima 25 ans – mère célibataire heureuse de 2 enfants.
Je suis heureuse parce-que je suis décomplexée. J’ai longtemps cru qu’il me fallait me tenir le plus sagement possible pour progresser dans ma vie et pou convaincre mon entourage de m’apprécier. Depuis mon divorce je sais que non seulement ça ne marche pas mais qu’en plus les gens peuvent m’aimer comme je suis. Alors depuis, je sors, je bois, je me suis même mise à fumer. Des fois je ne cuisine pas et je sors un plat tout fait du congélateur pour mes enfants. Je ris trop fort, je parle trop fort et parfois la bouche pleine. Et … j’ai plus d’amis qu’avant et on m’appelle « madame »! J’aime ma vie désordonnée, un peu « underground ». Je me suis découvert pleins de nouveaux hobbies. Ma recette du bonheur est très simple c’est d’être heureuse et d’en avoir l’air !
Iris 20 ans – mère célibataire heureuse d’un enfant de 1 an.
Je suis une mère célibataire heureuse parce que j’ai toujours voulu être maman. J’ai été jeune-fille au pair un an aux USA. Une belle expérience dont je me souviendrais toute ma vie. J’ai appris l’anglais là bas et je suis désormais traductrice à domicile. Mes copines font leurs études alors que moi j’ai trouvé ma voie. J’ai aussi déjà mon indépendance et ma vie est plus dense. Elle est faite de rires d’enfant, de travail au sein de ma propre entreprise (je suis travailleur indépendant) et d’occupations d’ados. Parce qu’au fond, j’en suis encore une !
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